On se raconte des histoires pour se donner bonne conscience.
Il y a ceux qui disent ce qu’ils font. Et il y a ceux qui font ce qu’ils disent.
L’illusion du bien
C’est devenu presque automatique. On ne lance plus une entreprise, un fonds ou un projet sans y ajouter une touche d’« impact social ». Comme une obligation morale ou un supplément d’âme pour convaincre, séduire, rassurer.
Et cela fonctionne. Le terme est puissant, il nous donne le sentiment de participer à quelque chose de plus grand. Il justifie nos choix, aligne nos discours et rend nos actions… plus nobles.
Mais parfois, on se raconte des histoires. Non pas par cynisme, mais par besoin profond de croire qu’on est du bon côté. On fait un peu, on le raconte beaucoup. On confond souvent la narration avec la transformation, l’intention avec l’action, le confort moral avec l’effort réel.
Impact : un mot qui rassure
Le terme « impact » est devenu un outil stratégique. Il rassure les parties prenantes, donne du sens à la croissance et attire les capitaux.
Mais à force d’être utilisé à tout-va, il s’est dilué. Tout le monde veut faire « de l’impact », mais peu questionnent réellement la nature, la profondeur et la durabilité de cet impact.
Derrière le mot, il faut regarder les actes. Ce n’est pas l’objectif affiché qui compte, mais le chemin réellement emprunté pour l’atteindre.
Communication et réalité : le piège des discours vertueux
Aujourd’hui, on met autant d’énergie à dire qu’à faire. Les rapports RSE sont peaufinés, les campagnes de communication « engagées » se multiplient, les engagements sont mis en scène.
Mais le décalage entre le discours et la réalité est parfois immense.
Prenons une entreprise qui affirme lutter contre l’exclusion… tout en sous-traitant sa logistique à un prestataire qui précarise ses employés. Ou un fonds « durable » qui investit dans des entreprises extractives sous prétexte qu’elles « améliorent leurs pratiques ».
On n’est pas dans la transformation, on est dans la mise en récit.
L’impact réel est discret, lent, exigeant
L’impact authentique n’est ni glamour, ni rapide. Il est fait d’écoute, de renoncements, de choix difficiles. Il implique souvent de renoncer à la maximisation du profit à court terme pour construire quelque chose de plus pérenne.
Il est aussi souvent invisible :
Un accompagnement régulier d’un public fragile.
Une aide concrète à des personnes âgées isolées pour rester chez elles.
Un modèle économique pensé pour l’intérêt général avant le retour financier.
Et surtout : il ne se mesure pas toujours facilement.
Comment mesurer concrètement l’impact social ?
L'impact ne se traduit pas uniquement en chiffres ou en communication séduisante. Il nécessite des indicateurs précis, concrets et pertinents.
Poser les bonnes questions
Avant de se demander comment valoriser notre impact, posons-nous des questions fondamentales :
Le bénéficiaire est-il réellement mieux après mon intervention ?
Ce que je propose est-il soutenable, reproductible, désirable ?
Suis-je cohérent entre ce que je fais et ce que je dis ?
Ferais-je la même chose si je ne pouvais pas en parler ?
Ces questions ne cherchent pas à culpabiliser, mais à réorienter nos repères.
Elles obligent à passer du déclaratif au réel.
Investir dans une Foncière solidaire : l’exemple concret de la Foncière Prosper
Prenons l’exemple concret de la Foncière Prosper, agréée ESUS (Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale). Sans promesses vagues, cette structure permet aux seniors de transformer une partie de leur patrimoine immobilier en complément de retraite, tout en restant pleinement propriétaires et autonomes.
Grâce à un contrat simple proposé par Merci Prosper, clair et juridiquement solide, ces seniors peuvent rester chez eux, tout en récupérant des liquidités nécessaires pour améliorer leur qualité de vie. Cette solution, inspirée de modèles anglo-saxons, ne comporte aucun aléa viager, offrant une sécurité à la fois pour les seniors et pour les investisseurs.
La Foncière Prosper ne promet pas de changer le monde d’un coup de baguette magique. Elle agit de façon pragmatique et rigoureuse, mobilisant l’épargne citoyenne pour soutenir des projets à fort impact social. Avec une réduction fiscale de 25 %, elle propose un cadre attractif aux investisseurs conscients et engagés.
C’est ça, l’impact : penser un modèle vertueux et l’appliquer avec constance, discrétion et rigueur.
Faire ce qu’on dit, dire ce qu’on fait
Cet article n’est pas un réquisitoire et ne se veut pas polémique. C’est un rappel.
Oui, l’impact peut être un puissant levier de transformation. Mais il ne doit pas devenir un décor. Il mérite mieux que du vernis ou des promesses.
Et surtout, il commence là où l’on accepte de faire moins de bruit, mais plus de bien.
Questions fréquentes sur la Foncière Prosper
Qu’est-ce qu’une Foncière solidaire agréée ESUS ?
Une société dédiée à l’investissement immobilier solidaire, reconnue par l’État pour ses engagements sociétaux forts et offrant des avantages fiscaux à ses investisseurs.
Quels sont les avantages fiscaux de la Foncière Prosper ?
Les investisseurs particuliers bénéficient d’une réduction d’impôt sur le revenu de 25 % et d’une exonération d’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI).
Quel est l’impact réel de la Foncière Prosper ?
Elle permet aux seniors de monétiser une partie de leur patrimoine immobilier pour mieux vivre leur retraite, sans aléa viager ni perte totale de propriété. Grâce au Contrat Prosper.
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